Une histoire à décrouvrir. [ PV: Koishi ]
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- Harada Riku
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Harada Riku Mer 26 Nov - 16:04
J'avais fais une grande visite de cet endroit, seule.
J'avais visité la ville, et j'aurais presque pu dire que je connaissais maintenant celle-ci comme ma poche. Mis à part certains recoins, bien sûr. Au bout d'un petit moment, j'ai aperçue un grand bâtiment. Je m'en suis approchée, et je suis passé par le portail à moitié par terre. Cet immeuble était en ruine, c'est vrai.
Les murs gris, tâchés de noir par endroit, étaient presque couchés au sol; Le toit semblait nous prévenir qu'il pouvait lâcher à tout moment; Des portes et fenêtres, ils n'en restaient que poussières; et des panneaux, des affiches servaient de couvertures aux serpents et autres bêtes répugnantes collés entre les murs et celles-ci. Je m'en approcha d'une, en fait, non, un, puisqu'il s'agissait d'un panneau. Il était à l'entrée de cet endroit, qui se trouvait être un collège, selon le l'écrit. " Collège St Yves ".
Comment cela pouvait être un collège? Et puis, mon regard se balada sur le terrain. Une pierre qui, contrairement au batiment, était assez propre et neuve, semblait dominer et aider cet endroit à reposer en paix. Lorsque je pus lire ce qu'elle indiquait, je resta stupéfaite. " En mémoire à tous ses élèves, professeurs et surveillants, qui ont péris dans les flammes de ce terrible accident. Avec compassion. Mr Le Maire, Georges Huchet. ". Tout paraissait maintenant si clair, un incendie avait ravagé ce collège. Je pus, maintenant sans aucun soucis, m'imaginer cet endroit emplis d'élèves qui riaient aux larmes et de filles qui se demandaient ce qu'elles pourraient mettre pour leur première boum.
Je m'assis sur ce qui devait être un jolie banc, enfin auparavant. Et puis je réfléchis, à tout. Je me dis que je ne regrette pas d'être venue ici, même si j'aurais aimé être moins seule. J'avais envie d'air frais, solitaire et rassurant; j'en ai eue. J'ai une colocataire, Koishi, très sympathique. Je suis dans un collège brûlé et abandonné, dont l'histoire m'intrigue énormément, et je peux être tranquille. Et puis..
- Qui est là? Je me retourna violemment. Quelqu'un m'observait, je le sentais. Derrière un bout de taule, Koishi s'avança.
J'avais visité la ville, et j'aurais presque pu dire que je connaissais maintenant celle-ci comme ma poche. Mis à part certains recoins, bien sûr. Au bout d'un petit moment, j'ai aperçue un grand bâtiment. Je m'en suis approchée, et je suis passé par le portail à moitié par terre. Cet immeuble était en ruine, c'est vrai.
Les murs gris, tâchés de noir par endroit, étaient presque couchés au sol; Le toit semblait nous prévenir qu'il pouvait lâcher à tout moment; Des portes et fenêtres, ils n'en restaient que poussières; et des panneaux, des affiches servaient de couvertures aux serpents et autres bêtes répugnantes collés entre les murs et celles-ci. Je m'en approcha d'une, en fait, non, un, puisqu'il s'agissait d'un panneau. Il était à l'entrée de cet endroit, qui se trouvait être un collège, selon le l'écrit. " Collège St Yves ".
Comment cela pouvait être un collège? Et puis, mon regard se balada sur le terrain. Une pierre qui, contrairement au batiment, était assez propre et neuve, semblait dominer et aider cet endroit à reposer en paix. Lorsque je pus lire ce qu'elle indiquait, je resta stupéfaite. " En mémoire à tous ses élèves, professeurs et surveillants, qui ont péris dans les flammes de ce terrible accident. Avec compassion. Mr Le Maire, Georges Huchet. ". Tout paraissait maintenant si clair, un incendie avait ravagé ce collège. Je pus, maintenant sans aucun soucis, m'imaginer cet endroit emplis d'élèves qui riaient aux larmes et de filles qui se demandaient ce qu'elles pourraient mettre pour leur première boum.
Je m'assis sur ce qui devait être un jolie banc, enfin auparavant. Et puis je réfléchis, à tout. Je me dis que je ne regrette pas d'être venue ici, même si j'aurais aimé être moins seule. J'avais envie d'air frais, solitaire et rassurant; j'en ai eue. J'ai une colocataire, Koishi, très sympathique. Je suis dans un collège brûlé et abandonné, dont l'histoire m'intrigue énormément, et je peux être tranquille. Et puis..
- Qui est là? Je me retourna violemment. Quelqu'un m'observait, je le sentais. Derrière un bout de taule, Koishi s'avança.
- Herikawa Koishi
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Herikawa Koishi Mer 26 Nov - 18:36
Mon endroit ! enfin ce n'ai pas vraiment le mien mais j'aime resté ici pour repensait à tout mon passé. Je c'est que je dit tout le temps je veux l'oublié mais c'est impossible. Comment oublié son regard qui vous mettez toujours le sourire au levre. Je leva ma tête vers le ciel.
-Takumi, me vois-tu de là haut ?
Je rebaissa la tête d'un seul coup. Je venais d'entendre entrée quelqu'un. Moi qui pensait que c'était abbandonné ici. Je fonça me cacher derriere un tas de taule. Pas que j'avais peur mais c'est surtout que je voulais savoir qui c'était. La personne continua sa marche jusqu'a la plaque qui fesait honneur au mort de cette ecole. Quand t-elle s'assiya sur le banc en face d'ou j'était je reconnu Riku. Je la laissa 5 secondes mais elle c'était retourner vers moi. Je sortis de ma cachette plutôt génée.
-Salut !
-Takumi, me vois-tu de là haut ?
Je rebaissa la tête d'un seul coup. Je venais d'entendre entrée quelqu'un. Moi qui pensait que c'était abbandonné ici. Je fonça me cacher derriere un tas de taule. Pas que j'avais peur mais c'est surtout que je voulais savoir qui c'était. La personne continua sa marche jusqu'a la plaque qui fesait honneur au mort de cette ecole. Quand t-elle s'assiya sur le banc en face d'ou j'était je reconnu Riku. Je la laissa 5 secondes mais elle c'était retourner vers moi. Je sortis de ma cachette plutôt génée.
-Salut !
- Harada RikuPureté exemplaire / Poisse
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Harada Riku Mer 26 Nov - 20:58
Je ne saurais dire ce que je ressentais à ce moment. De la joie, de revoir Koishi depuis la veille; de l'humiliation, de mettre fait prendre à un moment d'intense réflexion; ou de la peine, qu'elle aussi soit venue ici pour réfléchir, certainement. Alors, je m'approcha d'elle. Je ne savais pas quoi dire, mais, quand je passa devant la plaque, j'eus une réaction incontrôlée.
Mon corps ne voulait plus m'obéir, j'avais l'impression de ne plus être dans celui-ci. Mon pieds s'approcha de la plaque, tant bien que mal, j'essayais de le retenir; il ne devait pas faire ce qu'il voulait faire. Et puis, brusquement, sans que je puisse m'en empêcher, je donnais un violent coup de pieds sur le panneau. Les larmes commençaient à monter, et, pour me retenir, je pensais à Koishi, qui me regardait; mais rien n'y faisait. Mon esprit n'était pas synchrone avec mon corps, avec mes gestes et mes réactions. J'attrapais une pierre que je lançais sur le panneau, un bout de tôle dure et une planche à moitié brûlée, que je m'acharnais à frapper sur le pauvre panneau. Je continuais à jeter tout ce que je pouvais sur la plaque, m'écorchant les mains. Je ne comprenais pas ce que je faisais. Je crois que je criais, en même temps de frapper; je ne saurais pas dire. J'étais totalement déconnectée de l'extérieur, j'étais juste avec mes morceaux de débris, frappant de toutes mes forces insoupçonnées la plaque. Je continuais, pleurer, frapper, crier, le spectacle devait être horrible pour Koishi, comme pour moi. Elle ne devait pas comprendre, comme moi je ne comprenais pas. J'avais l'impression que ça n'étais pas moi, qui faisait ça. C'était horrible, j'étais comme torturée. Je priais pour qu'on m'arrête, mais qu'on me laisse tranquille. Je devais tout sortir. La colère, la haine, la douleur, tout. Même si c'était pour détruire cette pauvre plaque, même si c'était pour hurler et me faire saigner les mains. Puis, au bout d'un très long moment, je m'arrêta, l'air dépitée. Las, je regardais l'œuvre de ma colère et de mon humeur destructrice. La plaque n'était plus qu'un souvenir, on ne parvenait même plus à voir l'écriture, et encore moins la couleur. Je pleurais, je ne savais même pas pourquoi. Je m'approcha de la plaque, encore une fois, je la regardais, me demandant si c'était vraiment moi qui avait fait ça. J'avais l'impression de devenir folle, totalement psychotique, je crois. Et le pire, je ne savais même pas pourquoi.
Je me laissa totalement aller, tombant sur le sol sale et boueux. La tête vers le bas, les cheveux cachant mon visage brûlé par mes larmes de feux, je regardais mes mains; saignantes et extrêmement douloureuses. Je me mis à marmonner quelques choses. Je ne savais pas quoi, c'était sortie seul, sans que je puisse comprendre mes mots.
Que va penser Koishi. Pourquoi est ce que j'ai fait ça.
Mon corps ne voulait plus m'obéir, j'avais l'impression de ne plus être dans celui-ci. Mon pieds s'approcha de la plaque, tant bien que mal, j'essayais de le retenir; il ne devait pas faire ce qu'il voulait faire. Et puis, brusquement, sans que je puisse m'en empêcher, je donnais un violent coup de pieds sur le panneau. Les larmes commençaient à monter, et, pour me retenir, je pensais à Koishi, qui me regardait; mais rien n'y faisait. Mon esprit n'était pas synchrone avec mon corps, avec mes gestes et mes réactions. J'attrapais une pierre que je lançais sur le panneau, un bout de tôle dure et une planche à moitié brûlée, que je m'acharnais à frapper sur le pauvre panneau. Je continuais à jeter tout ce que je pouvais sur la plaque, m'écorchant les mains. Je ne comprenais pas ce que je faisais. Je crois que je criais, en même temps de frapper; je ne saurais pas dire. J'étais totalement déconnectée de l'extérieur, j'étais juste avec mes morceaux de débris, frappant de toutes mes forces insoupçonnées la plaque. Je continuais, pleurer, frapper, crier, le spectacle devait être horrible pour Koishi, comme pour moi. Elle ne devait pas comprendre, comme moi je ne comprenais pas. J'avais l'impression que ça n'étais pas moi, qui faisait ça. C'était horrible, j'étais comme torturée. Je priais pour qu'on m'arrête, mais qu'on me laisse tranquille. Je devais tout sortir. La colère, la haine, la douleur, tout. Même si c'était pour détruire cette pauvre plaque, même si c'était pour hurler et me faire saigner les mains. Puis, au bout d'un très long moment, je m'arrêta, l'air dépitée. Las, je regardais l'œuvre de ma colère et de mon humeur destructrice. La plaque n'était plus qu'un souvenir, on ne parvenait même plus à voir l'écriture, et encore moins la couleur. Je pleurais, je ne savais même pas pourquoi. Je m'approcha de la plaque, encore une fois, je la regardais, me demandant si c'était vraiment moi qui avait fait ça. J'avais l'impression de devenir folle, totalement psychotique, je crois. Et le pire, je ne savais même pas pourquoi.
Je me laissa totalement aller, tombant sur le sol sale et boueux. La tête vers le bas, les cheveux cachant mon visage brûlé par mes larmes de feux, je regardais mes mains; saignantes et extrêmement douloureuses. Je me mis à marmonner quelques choses. Je ne savais pas quoi, c'était sortie seul, sans que je puisse comprendre mes mots.
Que va penser Koishi. Pourquoi est ce que j'ai fait ça.
- Herikawa KoishiHypophobie
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Herikawa Koishi Mer 26 Nov - 21:45
Je regardais Riku qui au début aller très bien. Mais d'un coup elle se mit à jeté des pierres sur la Plaque. Elle pleuré,elle crié.Elle sortait tous se qu'elle pouvait. Pourquoi detruisé t-elle cette plaque. Qu'est ce qu'elle à d'important pour elle. Au début je voulait l'arreté mais si sa colère voulait sortir je n'avais pas à m'interposé. Toute cette violence, d'où pouvait-elle venir. Je la regarda faire mais je ne dit rien jusqu'a qu'elle s'arreta est ce laissa tomber à terre. C'est main était écorché. La laisser pleuré ne serait pas une bonne solution, alors je repensait à se que fesait Takumi pour me calmer lorque je fesait des crise. je me laissa tomber moi aussi, prit Riku dans mes bras et lui glissa à l'oreille.
-Je suis là. Ne t'inquiète pas il ne t'arrivera plus rien. Si je peux t'aider tu c'est très bien que tu peux tout me dire.
C'est mot était exactement ceux de takumi. Riku avait-elle sincèrement de mon aide. Je pense que oui. Je ferais tout pour l'aider.
-Je suis là. Ne t'inquiète pas il ne t'arrivera plus rien. Si je peux t'aider tu c'est très bien que tu peux tout me dire.
C'est mot était exactement ceux de takumi. Riku avait-elle sincèrement de mon aide. Je pense que oui. Je ferais tout pour l'aider.
- Harada RikuPureté exemplaire / Poisse
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Harada Riku Mer 26 Nov - 22:21
J'entendis le frottement des vêtements de Koishi sur le sol. Et ses mains m'attraper et me serrer contre elle. Non, je ne voulais pas qu'elle m'aide. Je ne voulais pour rien au monde qu'elle ne vit ça. Ce n'en était pas mon intention. Je n'étais pas venue ici pour que l'on m'aide, ou que l'on me voit partir à la dérive. Je voulais juste être tranquille ici, changer de vie et de mœurs. Qui plus est, je n'avais absolument aucun raisons de m'acharner ainsi contre cette plaque. Ou peut être, cette raison était bien cachée dans mon cerveau, mon âme, ou dans mon cœur. Je ne sais pas, je ne sais plus.
Les larmes brûlantes creusent un sillon dans la peau de mes joues. Le vent se lève, léger et apaisant. Il tente de sécher ces larmes qui me suivent à la trace depuis un petit moment, en vain. Je ne sais pas qui serait capable de les faire arrêter de s'écouler. J'avais l'impression, au fil des minutes, que je reprenais un rythme cardiaque normal et une respiration plus calme, bien que saccadée. Ma tête semblait exploser, j'avais l'impression qu'un concert de punk-rock jouait à l'intérieur. Je rebaissa le regard vers mes mains; elles me brûlaient. Je les essuya à mon tee-shirt blanc, qui était maintenant tâché de rouge, tant pis. Et puis, j'avais envie d'entendre la voix douce de Koishi.
- Koishi. J'eus beaucoup de mal à parler, et puis, les sanglots reprirent de nouveaux. Je ne parlais plus, j'haletais. Je... J'sais pas po... Je me répétais la phrase que je voulais prononcer dans ma tête, et puis, je la finis. Avec force et détermination, je me mis à articuler. Bien qu'épuisée, j'arrivai à parler. Je sais pas pourquoi j'ai fais ça. Je suis pas folle, je te jure...
- Koishi, racontes moi une partie de ce qui te fais mal. Je t'en pris.
Cette phrase était sortie seule, comme lorsque j'avais frappé, c'était partie tout seul. Mais cette fois-ci, je ne regrettais en rien ma subite perte de contrôle.
Les larmes brûlantes creusent un sillon dans la peau de mes joues. Le vent se lève, léger et apaisant. Il tente de sécher ces larmes qui me suivent à la trace depuis un petit moment, en vain. Je ne sais pas qui serait capable de les faire arrêter de s'écouler. J'avais l'impression, au fil des minutes, que je reprenais un rythme cardiaque normal et une respiration plus calme, bien que saccadée. Ma tête semblait exploser, j'avais l'impression qu'un concert de punk-rock jouait à l'intérieur. Je rebaissa le regard vers mes mains; elles me brûlaient. Je les essuya à mon tee-shirt blanc, qui était maintenant tâché de rouge, tant pis. Et puis, j'avais envie d'entendre la voix douce de Koishi.
- Koishi. J'eus beaucoup de mal à parler, et puis, les sanglots reprirent de nouveaux. Je ne parlais plus, j'haletais. Je... J'sais pas po... Je me répétais la phrase que je voulais prononcer dans ma tête, et puis, je la finis. Avec force et détermination, je me mis à articuler. Bien qu'épuisée, j'arrivai à parler. Je sais pas pourquoi j'ai fais ça. Je suis pas folle, je te jure...
- Koishi, racontes moi une partie de ce qui te fais mal. Je t'en pris.
Cette phrase était sortie seule, comme lorsque j'avais frappé, c'était partie tout seul. Mais cette fois-ci, je ne regrettais en rien ma subite perte de contrôle.
- Herikawa KoishiHypophobie
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Herikawa Koishi Jeu 27 Nov - 9:30
Je la lacha brutalement. Dans la minute qui suivait je regrettis se geste. Raconter ce qui me fait mal est trop dur. Je ne veux pas revivre tout c'est moment aussi douleur. Je baissa la tête quelque meche de cheveux tombèrent devant mon visage.
]-Toute ma vie me fait mal. De ma naissance à aujourd'hui, je n'ai jamais connu le bonheur. Je veux juste une vie comme les autres, et retrouvé Takumi.
Riku était vraiment une fille sympathique, mais si je lui raconterai ma vie, elle me prendrai en pitié. Et je ne veux la pitié de personne.
]-Toute ma vie me fait mal. De ma naissance à aujourd'hui, je n'ai jamais connu le bonheur. Je veux juste une vie comme les autres, et retrouvé Takumi.
Riku était vraiment une fille sympathique, mais si je lui raconterai ma vie, elle me prendrai en pitié. Et je ne veux la pitié de personne.
- Harada RikuPureté exemplaire / Poisse
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Harada Riku Dim 30 Nov - 20:22
Son brusque mouvement de recul me surpris. J'eus peur de l'avoir vexée, mais sa phrase me dit que je ne devrais pas insister, après tout, si elle ne veut pas raconter sa vie, elle en a tout à fait le droit. Le vent se lève, il fait froid, je suis totalement gelée. La nuit tombe, il fait de plus en plus sombre. On peut apercevoir la lune, et quelques étoiles commencent à perler dans le ciel. 'J'aime les étoiles. Quand elles apparaissent, on dirait des larmes qui apparaissent sur les joues d'une personnes.'.
" J'aime les étoiles. C'est tellement beau. Je m'assis et me recroqueville sur moi-même. Il fait froid et je n'ai pas pris de veste. Les larmes encore légèrement présentes sur mes joues me brûlent. En repensant à cette phrase, d'autres se regroupent dans mes yeux pour finir en bas de mes joues. Je ne veux pas pleurer mais c'est inévitable, du moins, pour aujourd'hui. Demain j'irais mieux, après demain Koishi aussi, et la semaine prochaine nous serons heureuse. Je me le promets. Et toi? "
" J'aime les étoiles. C'est tellement beau. Je m'assis et me recroqueville sur moi-même. Il fait froid et je n'ai pas pris de veste. Les larmes encore légèrement présentes sur mes joues me brûlent. En repensant à cette phrase, d'autres se regroupent dans mes yeux pour finir en bas de mes joues. Je ne veux pas pleurer mais c'est inévitable, du moins, pour aujourd'hui. Demain j'irais mieux, après demain Koishi aussi, et la semaine prochaine nous serons heureuse. Je me le promets. Et toi? "
Niwa. Viens regarder les étoiles avec moi, assieds toi à côté de moi.
' J'aime les étoiles. Quand elles apparaissent, on dirait des larmes qui apparaissent sur les joues d'une personnes. '.
Niwa, dis moi encore cette phrase.
' J'aime les étoiles. Quand elles apparaissent, on dirait des larmes qui apparaissent sur les joues d'une personnes. '.
Niwa, dis moi encore cette phrase.
- Herikawa KoishiHypophobie
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Herikawa Koishi Dim 30 Nov - 22:41
Je la regarda en souriant. Elle ne l'avais pas prit mal, j'était contente. Elle me demanda si j'aimais les étoiles. Les étoile on pour moi toute une Histoire. Mon Histoire.
-Les étoiles son comme des confidente. Lorsque j'ai un problème je leurs parle et elle réagissent. Elle m'appaise,me crie dessus,pleure avec moi. Elle son tout pour moi. Comme un deuxième coeur.
C'est vrai tout se que je dis. Je déteste être aussi mélancolique mais la je dois dire tous se qui me passe sur le coeur. Je pense que Riku et moi nous avons chacun, quelqu'un qui nous manque beaucoup. Takumi je c'est que tu es l'une de c'est étoile. Et que tu ne me quitteras jamais.
-Les étoiles son comme des confidente. Lorsque j'ai un problème je leurs parle et elle réagissent. Elle m'appaise,me crie dessus,pleure avec moi. Elle son tout pour moi. Comme un deuxième coeur.
C'est vrai tout se que je dis. Je déteste être aussi mélancolique mais la je dois dire tous se qui me passe sur le coeur. Je pense que Riku et moi nous avons chacun, quelqu'un qui nous manque beaucoup. Takumi je c'est que tu es l'une de c'est étoile. Et que tu ne me quitteras jamais.
- Harada RikuPureté exemplaire / Poisse
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Harada Riku Lun 1 Déc - 23:34
La phrase que m'avait dit Koishi m'avait touché. Les étoiles semblent toujours nous regarder, nous observer et nous corriger nos erreurs. Bien sûr, ça n'est qu'une illusion. Les erreurs commises ne se réparent pas, une erreur se paye et reste toujours encrée dans notre histoire. Beaucoup de gens aimerait changer cela, mais ça n'est pas possible. Si la personnes qui a créer la vie et tout ce qui a un lien avec croise ma route, je pense que je ferrais tout pour que cette personne meure. Et emporte avec elle tout ce qu'elle a crée au fond des abîmes.
Mon imagination explosive me fit sourire, je m'invente des histoires bien à moi, totalement incohérentes et déjantés. Puis, je me relève, et me retourne vers Koishi, baissa la tête afin de la voir.
- Je rentre à la maison. Il fait froid et je n'ai pas pris de veste. Et puis je suis fatiguée. De honte, je me retourna pour me mettre dos à Koishi. Mon regard resta dans le vague. Oublie ce que tu as vu, ce que j'ai fait tout à l'heure. Ce n'était pas intentionnel, je ne sais pas ce qui m'a pris. Ce n'était pas moi, je ne suis pas comme ça.
Puis, je pris mon courage à deux mains et me retourna vers Koishi, les larmes aux yeux, et lui fit un faible sourire.
Mon imagination explosive me fit sourire, je m'invente des histoires bien à moi, totalement incohérentes et déjantés. Puis, je me relève, et me retourne vers Koishi, baissa la tête afin de la voir.
- Je rentre à la maison. Il fait froid et je n'ai pas pris de veste. Et puis je suis fatiguée. De honte, je me retourna pour me mettre dos à Koishi. Mon regard resta dans le vague. Oublie ce que tu as vu, ce que j'ai fait tout à l'heure. Ce n'était pas intentionnel, je ne sais pas ce qui m'a pris. Ce n'était pas moi, je ne suis pas comme ça.
Puis, je pris mon courage à deux mains et me retourna vers Koishi, les larmes aux yeux, et lui fit un faible sourire.
- Herikawa KoishiHypophobie
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Localisation : Dans un Village bien mystérieux
Herikawa Koishi Mar 2 Déc - 0:08
Elle n'était pas obligé de se justifiées, je ne lui en voulait pas du tout.
-C'est rien on a tous un petit moment de folie, un jour ou l'autre.
Elle semblait trembler un petit peu. Elle devait surement avoir froid. Je lui aurait bien proposé ma veste si j'en avait une.
- Tu veux que je t'accompagne ou sa va y aller ? Où sinon je reste encore un peu ici.
Je lui fit un grand sourire pour le remonter un peu le moral.
-C'est rien on a tous un petit moment de folie, un jour ou l'autre.
Elle semblait trembler un petit peu. Elle devait surement avoir froid. Je lui aurait bien proposé ma veste si j'en avait une.
- Tu veux que je t'accompagne ou sa va y aller ? Où sinon je reste encore un peu ici.
Je lui fit un grand sourire pour le remonter un peu le moral.
- Harada RikuPureté exemplaire / Poisse
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Harada Riku Mar 2 Déc - 23:30
Koishi avait envie de rester, je le sentais. De rester seule surtout, je crois. Alors, je ravala les quelques larmes qui menaçaient de couler. Elle me fit un sourire, qui se fut communicatif, puisqu'à mon tour je lui sourit.
- Non, c'est bon, ça va aller. Je retournas mon regard vers l'extérieur de l'arrière cour, de ce drôle de collège ancien. Et puis, marcher un peu seule me fera du bien.
Je commença à m'éloigner et passa par le portail, mais, quelque chose me fit tilt. Alors, je rebroussa chemin, sous le regard étonné de Koishi.
- Je ne sais pas toi, mais moi, je retournerai sûrement ici. L'histoire de ce collège et de ses élèves m'intriguent, et je réussirai à trouver des réponses à mes questions.
Cela dit, je reprit le trajet du retour, observant les moindres détails de cet endroit si mystérieux.
- Non, c'est bon, ça va aller. Je retournas mon regard vers l'extérieur de l'arrière cour, de ce drôle de collège ancien. Et puis, marcher un peu seule me fera du bien.
Je commença à m'éloigner et passa par le portail, mais, quelque chose me fit tilt. Alors, je rebroussa chemin, sous le regard étonné de Koishi.
- Je ne sais pas toi, mais moi, je retournerai sûrement ici. L'histoire de ce collège et de ses élèves m'intriguent, et je réussirai à trouver des réponses à mes questions.
Cela dit, je reprit le trajet du retour, observant les moindres détails de cet endroit si mystérieux.
- Herikawa KoishiHypophobie
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Herikawa Koishi Sam 6 Déc - 14:03
Pourquoi cherche t-elle un secret déjà tout fait. Est ce que certains détails lui rapelle quelque chose.
j'aimerai beaucoup l'aider à trouvé se secret surtout que je me suis déjà renseigné sur quelque détails.
-Tu c'est c'est le Principal à survecu à se feux. Tu pourrais aller l'interoger si tu veux.
En fête je ne voulais pas qu'elle y aille. Je mettais déjà fait une hypothèse sur se miraculeux survivant.
-En fête je crois que c'est le Principal qui aurait mis le feu, donc si tu vas fait bien attention à toi.
j'aimerai beaucoup l'aider à trouvé se secret surtout que je me suis déjà renseigné sur quelque détails.
-Tu c'est c'est le Principal à survecu à se feux. Tu pourrais aller l'interoger si tu veux.
En fête je ne voulais pas qu'elle y aille. Je mettais déjà fait une hypothèse sur se miraculeux survivant.
-En fête je crois que c'est le Principal qui aurait mis le feu, donc si tu vas fait bien attention à toi.
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